Mais où sont passés canon et plaques de blindage, symbole et trait d'union entre la ville et son cèdre devenu orphelin, et la gorge bruyante et enfumée dont les forges, en leur temps, ont fait la renommée d'Allevard ?
Il nous faut suivre l'affaire de près .
Si le cèdre est, devenu souffreteux, les curistes, s'ils reviennent un jour, pourront s'offrir un canon d'eau sulfureuse. Nous, on souffre parce que le curé de chez nous, expert en droit canon, n'a soufflé mot de l'histoire. La bouche du canon, loin des boulets du sucrage universel reste muette. Et, comme le disait Napoléon, il faut acheter au son du canon et vendre au son du violon.
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